• هل عمرك فكرت كيف يكون البناء ناجح بلا تدخل كبير؟

    المقال الجديد يتطرق لفكرة مثيرة: كيف أن غياب التدخل المعماري أحيانًا يكون هو السبب الرئيسي لنجاح المشاريع. في بعض الحالات، مثل المسابقة المعمارية في باريس عام 1971، كانت الفكرة ببساطة استخدام نصف الموقع فقط وترك الباقي كفضاء حضري. وفي لندن، تحول محطة كهرباء مهجورة بفكرة بسيطة، خلّت الفضاءات الكبيرة دون تغيير، وفازت بمسابقة تصميم عام 1994. وكاين حتى لقب "ستيرلينغ" عام 2017 في المملكة المتحدة، اللي فازت به فكرة بسيطة جداً، منصة فارغة أكثر من أي حاجة.

    شخصياً، نحب الأفكار اللي تخلي الفضاءات تتنفس وتعيش، يعني الإبداع ماشي ديما في التفاصيل، لكن في الغياب متاعها.

    خليكم مع المقال وفكروا في كيفيات جديدة للعمارة!

    https://www.archdaily.com/1033320/how-not-to-build-architecture-by-the-absence-of-intervention
    #عمارة #Building #UrbanSpace #Design #Intervention
    هل عمرك فكرت كيف يكون البناء ناجح بلا تدخل كبير؟ 🤔 المقال الجديد يتطرق لفكرة مثيرة: كيف أن غياب التدخل المعماري أحيانًا يكون هو السبب الرئيسي لنجاح المشاريع. في بعض الحالات، مثل المسابقة المعمارية في باريس عام 1971، كانت الفكرة ببساطة استخدام نصف الموقع فقط وترك الباقي كفضاء حضري. وفي لندن، تحول محطة كهرباء مهجورة بفكرة بسيطة، خلّت الفضاءات الكبيرة دون تغيير، وفازت بمسابقة تصميم عام 1994. وكاين حتى لقب "ستيرلينغ" عام 2017 في المملكة المتحدة، اللي فازت به فكرة بسيطة جداً، منصة فارغة أكثر من أي حاجة. شخصياً، نحب الأفكار اللي تخلي الفضاءات تتنفس وتعيش، يعني الإبداع ماشي ديما في التفاصيل، لكن في الغياب متاعها. خليكم مع المقال وفكروا في كيفيات جديدة للعمارة! https://www.archdaily.com/1033320/how-not-to-build-architecture-by-the-absence-of-intervention #عمارة #Building #UrbanSpace #Design #Intervention
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    Whether for design competitions or architectural awards, buildings are often judged for what they offer–the programmed functions, the form, or the visual delight. In a minority of cases, it is the absence or the reduction of intervention tha
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  • Aux urgences, l’IA peut aider les médecins face aux traumatisés sévères

    Aux urgences, l’IA peut aider les médecins face aux traumatisés sévères Les raisonnements de l’algorithme de l’intelligence artificielle et ceux de l’humain pourraient être complémentaires et améliorer la prise en charge des patients gravement blessés. Article réservé aux abonnés Le service d’urgence de l’hôpital CHU Nord à Grenoble, dans les Alpes françaises, le 29 décembre 2013. ROBERT PRATTA / REUTERS Le tri des patients à l’arrivée aux urgences est un passage obligé en amont de la prise en charge à l’hôpital. Y compris pour les victimes de traumatisme grave. C’est cette étape qui oriente les cas en fonction des blessures et de leur gravité : traumatisme crânien, hémorragie, lésions de la colonne vertébrale… Une étape cruciale car elle décide des moyens mobilisés à l’arrivée du blessé dans le service des urgences. Par exemple, si une hémorragie est suspectée, la procédure est de préparer un bloc opératoire et une équipe d’intervention, et d’acheminer du sang pour une transfusion. Un mauvais aiguillage peut être fatal. « C’est pour ça que c’est important d’essayer d’anticiper au mieux les besoins des patients », explique Tobias Gauss, anesthésiste-réanimateur au CHU de Grenoble.Une équipe pluridisciplinaire, dont il fait partie, a voulu tester ce qu’une intelligence artificiellepourrait apporter au diagnostic en termes de précision et de gain de temps. Ils ont développé Shockmatrix, une IA d’assistance au triage. Leur outil, conçu grâce à un partenariat avec l’entreprise grenobloise Capgemini, utilise la technologie de l’apprentissage machine : l’algorithme a été nourri avec les données de 50 000 admissions à l’hôpital, issues du registre national des patients traumatisés sévères. L’IA est censée ensuite pouvoir proposer un diagnostic. Il vous reste 70.7% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
    #aux #urgences #lia #peut #aider
    Aux urgences, l’IA peut aider les médecins face aux traumatisés sévères
    Aux urgences, l’IA peut aider les médecins face aux traumatisés sévères Les raisonnements de l’algorithme de l’intelligence artificielle et ceux de l’humain pourraient être complémentaires et améliorer la prise en charge des patients gravement blessés. Article réservé aux abonnés Le service d’urgence de l’hôpital CHU Nord à Grenoble, dans les Alpes françaises, le 29 décembre 2013. ROBERT PRATTA / REUTERS Le tri des patients à l’arrivée aux urgences est un passage obligé en amont de la prise en charge à l’hôpital. Y compris pour les victimes de traumatisme grave. C’est cette étape qui oriente les cas en fonction des blessures et de leur gravité : traumatisme crânien, hémorragie, lésions de la colonne vertébrale… Une étape cruciale car elle décide des moyens mobilisés à l’arrivée du blessé dans le service des urgences. Par exemple, si une hémorragie est suspectée, la procédure est de préparer un bloc opératoire et une équipe d’intervention, et d’acheminer du sang pour une transfusion. Un mauvais aiguillage peut être fatal. « C’est pour ça que c’est important d’essayer d’anticiper au mieux les besoins des patients », explique Tobias Gauss, anesthésiste-réanimateur au CHU de Grenoble.Une équipe pluridisciplinaire, dont il fait partie, a voulu tester ce qu’une intelligence artificiellepourrait apporter au diagnostic en termes de précision et de gain de temps. Ils ont développé Shockmatrix, une IA d’assistance au triage. Leur outil, conçu grâce à un partenariat avec l’entreprise grenobloise Capgemini, utilise la technologie de l’apprentissage machine : l’algorithme a été nourri avec les données de 50 000 admissions à l’hôpital, issues du registre national des patients traumatisés sévères. L’IA est censée ensuite pouvoir proposer un diagnostic. Il vous reste 70.7% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. #aux #urgences #lia #peut #aider
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    Aux urgences, l’IA peut aider les médecins face aux traumatisés sévères Les raisonnements de l’algorithme de l’intelligence artificielle et ceux de l’humain pourraient être complémentaires et améliorer la prise en charge des patients gravement blessés. Article réservé aux abonnés Le service d’urgence de l’hôpital CHU Nord à Grenoble, dans les Alpes françaises, le 29 décembre 2013. ROBERT PRATTA / REUTERS Le tri des patients à l’arrivée aux urgences est un passage obligé en amont de la prise en charge à l’hôpital. Y compris pour les victimes de traumatisme grave. C’est cette étape qui oriente les cas en fonction des blessures et de leur gravité : traumatisme crânien, hémorragie, lésions de la colonne vertébrale… Une étape cruciale car elle décide des moyens mobilisés à l’arrivée du blessé dans le service des urgences. Par exemple, si une hémorragie est suspectée, la procédure est de préparer un bloc opératoire et une équipe d’intervention, et d’acheminer du sang pour une transfusion. Un mauvais aiguillage peut être fatal. « C’est pour ça que c’est important d’essayer d’anticiper au mieux les besoins des patients », explique Tobias Gauss, anesthésiste-réanimateur au CHU de Grenoble.Une équipe pluridisciplinaire, dont il fait partie, a voulu tester ce qu’une intelligence artificielle (IA) pourrait apporter au diagnostic en termes de précision et de gain de temps. Ils ont développé Shockmatrix, une IA d’assistance au triage. Leur outil, conçu grâce à un partenariat avec l’entreprise grenobloise Capgemini, utilise la technologie de l’apprentissage machine : l’algorithme a été nourri avec les données de 50 000 admissions à l’hôpital, issues du registre national des patients traumatisés sévères. L’IA est censée ensuite pouvoir proposer un diagnostic. Il vous reste 70.7% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
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