• YouTube accusé d’appliquer des filtres sous IA aux contenus des utilisateurs

    Dès le mois de juin, les premiers avertissements inquiets commencent à apparaître sur le forum Reddit. Quelques créateurs s’alarment de l’apparence des vidéos publiées récemment sur YouTube : certains y décèlent un effet « peinture à l’huile », d’autres un aspect « plastique » leur faisant penser à la marque d’un traitement par intelligence artificielle. Toutefois, il faut attendre mercredi 20 août, cette fois sur le réseau social X, pour que le soupçon se confirme. En guise d’expérimentation, l’entreprise utilise bien un « procédé traditionnel de “machine learning”pour déflouter, “débruiter” et améliorer la clarté » d’une partie des « shorts », les vidéos courtes et verticales de YouTube, révèle alors Rene Ritchie, chargé pour YouTube des relations avec les créateurs. En employant le vocable « machine learning », la plateforme se garde d’employer les termes « intelligence artificielle », qui évoquent sans doute trop les IA génératives, outils apparus dans les années 2020 et qui permettent de créer des vidéos de toutes pièces sur la base d’une simple consigne textuelle. A l’inverse, le « machine learning » peut passer pour une technologie plus traditionnelle, car il est Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Avec Veo 3, les vidéos générées par IA deviennent quasiment impossibles à distinguer des vraies Ce type d’outil est pourtant bien une intelligence artificielle. Il partage même avec les IA génératives des soubassements techniques communs de sorte qu’il ne serait pas surprenant que leurs signatures visuelles respectives puissent être confondues. Perte de confiance C’est la raison pour laquelle les nouveaux filtres de YouTube font craindre aux créateurs des conséquences négatives sur leur communauté. « J’ai un énorme problème avec ça », réagit ainsi Rhett Shull, youtubeur qui compte près de 750 000 abonnés. « En ce moment, l’IA est au cœur d’un vif débat. Des personnes sont farouchement hostiles à cette technologie, à cause de son impact environnemental » et des questions de propriété intellectuelle qu’elle soulève, expliquait-il dans une vidéo publiée vendredi 15 août. Il vous reste 45.32% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
    #youtube #accusé #dappliquer #des #filtres
    YouTube accusé d’appliquer des filtres sous IA aux contenus des utilisateurs
    Dès le mois de juin, les premiers avertissements inquiets commencent à apparaître sur le forum Reddit. Quelques créateurs s’alarment de l’apparence des vidéos publiées récemment sur YouTube : certains y décèlent un effet « peinture à l’huile », d’autres un aspect « plastique » leur faisant penser à la marque d’un traitement par intelligence artificielle. Toutefois, il faut attendre mercredi 20 août, cette fois sur le réseau social X, pour que le soupçon se confirme. En guise d’expérimentation, l’entreprise utilise bien un « procédé traditionnel de “machine learning”pour déflouter, “débruiter” et améliorer la clarté » d’une partie des « shorts », les vidéos courtes et verticales de YouTube, révèle alors Rene Ritchie, chargé pour YouTube des relations avec les créateurs. En employant le vocable « machine learning », la plateforme se garde d’employer les termes « intelligence artificielle », qui évoquent sans doute trop les IA génératives, outils apparus dans les années 2020 et qui permettent de créer des vidéos de toutes pièces sur la base d’une simple consigne textuelle. A l’inverse, le « machine learning » peut passer pour une technologie plus traditionnelle, car il est Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Avec Veo 3, les vidéos générées par IA deviennent quasiment impossibles à distinguer des vraies Ce type d’outil est pourtant bien une intelligence artificielle. Il partage même avec les IA génératives des soubassements techniques communs de sorte qu’il ne serait pas surprenant que leurs signatures visuelles respectives puissent être confondues. Perte de confiance C’est la raison pour laquelle les nouveaux filtres de YouTube font craindre aux créateurs des conséquences négatives sur leur communauté. « J’ai un énorme problème avec ça », réagit ainsi Rhett Shull, youtubeur qui compte près de 750 000 abonnés. « En ce moment, l’IA est au cœur d’un vif débat. Des personnes sont farouchement hostiles à cette technologie, à cause de son impact environnemental » et des questions de propriété intellectuelle qu’elle soulève, expliquait-il dans une vidéo publiée vendredi 15 août. Il vous reste 45.32% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. #youtube #accusé #dappliquer #des #filtres
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    Dès le mois de juin, les premiers avertissements inquiets commencent à apparaître sur le forum Reddit. Quelques créateurs s’alarment de l’apparence des vidéos publiées récemment sur YouTube : certains y décèlent un effet « peinture à l’huile », d’autres un aspect « plastique » leur faisant penser à la marque d’un traitement par intelligence artificielle (IA). Toutefois, il faut attendre mercredi 20 août, cette fois sur le réseau social X, pour que le soupçon se confirme. En guise d’expérimentation, l’entreprise utilise bien un « procédé traditionnel de “machine learning” [“apprentissage automatique”] pour déflouter, “débruiter” et améliorer la clarté » d’une partie des « shorts », les vidéos courtes et verticales de YouTube, révèle alors Rene Ritchie, chargé pour YouTube des relations avec les créateurs. En employant le vocable « machine learning », la plateforme se garde d’employer les termes « intelligence artificielle », qui évoquent sans doute trop les IA génératives, outils apparus dans les années 2020 et qui permettent de créer des vidéos de toutes pièces sur la base d’une simple consigne textuelle. A l’inverse, le « machine learning » peut passer pour une technologie plus traditionnelle, car il est Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Avec Veo 3, les vidéos générées par IA deviennent quasiment impossibles à distinguer des vraies Ce type d’outil est pourtant bien une intelligence artificielle. Il partage même avec les IA génératives des soubassements techniques communs de sorte qu’il ne serait pas surprenant que leurs signatures visuelles respectives puissent être confondues. Perte de confiance C’est la raison pour laquelle les nouveaux filtres de YouTube font craindre aux créateurs des conséquences négatives sur leur communauté. « J’ai un énorme problème avec ça », réagit ainsi Rhett Shull, youtubeur qui compte près de 750 000 abonnés. « En ce moment, l’IA est au cœur d’un vif débat (…). Des personnes sont farouchement hostiles à cette technologie, à cause de son impact environnemental » et des questions de propriété intellectuelle qu’elle soulève, expliquait-il dans une vidéo publiée vendredi 15 août. Il vous reste 45.32% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
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  • Ils se faisaient passer pour de hauts cadres de l’État : 7 imposteurs devant la justice à Alger

    Le juge d’instruction du tribunal de Bir Mourad Raïs, relevant de la Cour d’Alger, a ordonné ce jeudi le placement en détention provisoire de septL’article Ils se faisaient passer pour de hauts cadres de l’État : 7 imposteurs devant la justice à Alger est apparu en premier sur .
    #ils #faisaient #passer #pour #hauts
    Ils se faisaient passer pour de hauts cadres de l’État : 7 imposteurs devant la justice à Alger
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  • Nvidia et AMD vont verser 15 % de leurs revenus provenant de la vente de puces en Chine au gouvernement américain

    Le PDG de Nvidia, Jensen Huang, pose pour une photo avec le secrétaire à l’intérieur, Doug Burgum, avant le discours du président Donald Trump lors d’un sommet sur l’IA, mercredi 23 juillet 2025, à Washington. JULIA DEMAREE NIKHINSON / AP Les géants américains des semi-conducteurs Nvidia et Advanced Micro Devices ont accepté de verser au gouvernement américain 15 % de leurs revenus provenant de la vente à la Chine de puces conçues pour l’intelligence artificielle, selon des informations parues, dimanche 10 août, dans le Financial Times, Bloomberg et le New York Times. Donald Trump a confirmé l’information à propos de Nvidia, lundi. « Je leur ai dit, je veux que vous payez quelque chose à notre pays, parce que je vous accorde une exemption », a déclaré le président des Etats-Unis à des journalistes à la Maison Blanche, insistant sur le fait que les H20 ne sont pas des puces de dernière génération. Nvidia les avait conçues pour se conformer aux restrictions d’exportations de composants de pointe vers la Chine. Le PDG de Nvidia, Jensen Huang, avait rencontré le président des Etats-Unis à la Maison Blanche mercredi et accepté de reverser au gouvernement américain une partie de ses revenus, un arrangement très inhabituel dans le commerce international des technologies. Selon le Financial Times, citant un officiel américain, c’était une « condition pour obtenir les licences d’exportation vers le marché chinois qui leur ont été accordées la semaine dernière ». « Nous suivons les règles établies par le gouvernement américain pour notre participation aux marchés mondiaux », a affirmé Nvidia lundi dans une réponse écrite à l’Agence France Presse, sans mentionner ces 15 %. « Bien que nous n’ayons pas expédié deH20 en Chine depuis des mois, nous espérons que les règles de contrôle des exportations permettront à l’Amérique d’être compétitive en Chine et dans le monde entier », a encore commenté Nvidia. Enjeu majeur La société californienne est au cœur de la rivalité technologique entre Pékin et Washington. L’accès des entreprises chinoises à ses puces avancées H20 constitue un enjeu majeur dans les discussions commerciales entre les deux puissances. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Les puces Nvidia au cœur de la fragile trêve dans la guerre commerciale entre la Chine et les Etats-Unis Cependant, au début de juillet, Nvidia a communiqué sur le fait qu’il reprendrait les ventes de ses puces H20 en Chine, après que les autorités américaines ont levé certaines restrictions à l’exportation vers le pays asiatique. Nvidia, premier producteur mondial de semi-conducteurs, est devenu, en juillet, la première entreprise à dépasser les 4 000 milliards de dollarsde capitalisation boursière, montrant à quel point les marchés misent sur l’intelligence artificielle, en train de révolutionner l’économie mondiale. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Nvidia, première entreprise à dépasser 4 000 milliards de dollars de capitalisation boursière La société Advanced Micro Devices, domiciliée dans la Silicon Valley, versera également 15 % de ses revenus sur les ventes en Chine de ses puces MI308, dont l’exportation vers ce pays lui était auparavant interdite. Selon le New York Times, cet accord pourrait rapporter plus de 2 milliards de dollars au gouvernement américain. Donald Trump avait annoncé mercredi qu’il comptait imposer 100 % de droits de douane sur les « puces et semi-conducteurs », sans préciser, pour l’instant, la date d’entrée en vigueur de cette nouvelle taxe douanière. Le Monde avec AFP Réutiliser ce contenu
    #nvidia #amd #vont #verser #leurs
    Nvidia et AMD vont verser 15 % de leurs revenus provenant de la vente de puces en Chine au gouvernement américain
    Le PDG de Nvidia, Jensen Huang, pose pour une photo avec le secrétaire à l’intérieur, Doug Burgum, avant le discours du président Donald Trump lors d’un sommet sur l’IA, mercredi 23 juillet 2025, à Washington. JULIA DEMAREE NIKHINSON / AP Les géants américains des semi-conducteurs Nvidia et Advanced Micro Devices ont accepté de verser au gouvernement américain 15 % de leurs revenus provenant de la vente à la Chine de puces conçues pour l’intelligence artificielle, selon des informations parues, dimanche 10 août, dans le Financial Times, Bloomberg et le New York Times. Donald Trump a confirmé l’information à propos de Nvidia, lundi. « Je leur ai dit, je veux que vous payez quelque chose à notre pays, parce que je vous accorde une exemption », a déclaré le président des Etats-Unis à des journalistes à la Maison Blanche, insistant sur le fait que les H20 ne sont pas des puces de dernière génération. Nvidia les avait conçues pour se conformer aux restrictions d’exportations de composants de pointe vers la Chine. Le PDG de Nvidia, Jensen Huang, avait rencontré le président des Etats-Unis à la Maison Blanche mercredi et accepté de reverser au gouvernement américain une partie de ses revenus, un arrangement très inhabituel dans le commerce international des technologies. Selon le Financial Times, citant un officiel américain, c’était une « condition pour obtenir les licences d’exportation vers le marché chinois qui leur ont été accordées la semaine dernière ». « Nous suivons les règles établies par le gouvernement américain pour notre participation aux marchés mondiaux », a affirmé Nvidia lundi dans une réponse écrite à l’Agence France Presse, sans mentionner ces 15 %. « Bien que nous n’ayons pas expédié deH20 en Chine depuis des mois, nous espérons que les règles de contrôle des exportations permettront à l’Amérique d’être compétitive en Chine et dans le monde entier », a encore commenté Nvidia. Enjeu majeur La société californienne est au cœur de la rivalité technologique entre Pékin et Washington. L’accès des entreprises chinoises à ses puces avancées H20 constitue un enjeu majeur dans les discussions commerciales entre les deux puissances. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Les puces Nvidia au cœur de la fragile trêve dans la guerre commerciale entre la Chine et les Etats-Unis Cependant, au début de juillet, Nvidia a communiqué sur le fait qu’il reprendrait les ventes de ses puces H20 en Chine, après que les autorités américaines ont levé certaines restrictions à l’exportation vers le pays asiatique. Nvidia, premier producteur mondial de semi-conducteurs, est devenu, en juillet, la première entreprise à dépasser les 4 000 milliards de dollarsde capitalisation boursière, montrant à quel point les marchés misent sur l’intelligence artificielle, en train de révolutionner l’économie mondiale. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Nvidia, première entreprise à dépasser 4 000 milliards de dollars de capitalisation boursière La société Advanced Micro Devices, domiciliée dans la Silicon Valley, versera également 15 % de ses revenus sur les ventes en Chine de ses puces MI308, dont l’exportation vers ce pays lui était auparavant interdite. Selon le New York Times, cet accord pourrait rapporter plus de 2 milliards de dollars au gouvernement américain. Donald Trump avait annoncé mercredi qu’il comptait imposer 100 % de droits de douane sur les « puces et semi-conducteurs », sans préciser, pour l’instant, la date d’entrée en vigueur de cette nouvelle taxe douanière. Le Monde avec AFP Réutiliser ce contenu #nvidia #amd #vont #verser #leurs
    Nvidia et AMD vont verser 15 % de leurs revenus provenant de la vente de puces en Chine au gouvernement américain
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    Le PDG de Nvidia, Jensen Huang, pose pour une photo avec le secrétaire à l’intérieur, Doug Burgum, avant le discours du président Donald Trump lors d’un sommet sur l’IA, mercredi 23 juillet 2025, à Washington. JULIA DEMAREE NIKHINSON / AP Les géants américains des semi-conducteurs Nvidia et Advanced Micro Devices ont accepté de verser au gouvernement américain 15 % de leurs revenus provenant de la vente à la Chine de puces conçues pour l’intelligence artificielle (IA), selon des informations parues, dimanche 10 août, dans le Financial Times, Bloomberg et le New York Times. Donald Trump a confirmé l’information à propos de Nvidia, lundi. « Je leur ai dit (…), je veux que vous payez quelque chose à notre pays, parce que je vous accorde une exemption », a déclaré le président des Etats-Unis à des journalistes à la Maison Blanche, insistant sur le fait que les H20 ne sont pas des puces de dernière génération. Nvidia les avait conçues pour se conformer aux restrictions d’exportations de composants de pointe vers la Chine. Le PDG de Nvidia, Jensen Huang, avait rencontré le président des Etats-Unis à la Maison Blanche mercredi et accepté de reverser au gouvernement américain une partie de ses revenus, un arrangement très inhabituel dans le commerce international des technologies. Selon le Financial Times, citant un officiel américain, c’était une « condition pour obtenir les licences d’exportation vers le marché chinois qui leur ont été accordées la semaine dernière ». « Nous suivons les règles établies par le gouvernement américain pour notre participation aux marchés mondiaux », a affirmé Nvidia lundi dans une réponse écrite à l’Agence France Presse, sans mentionner ces 15 %. « Bien que nous n’ayons pas expédié de [puces] H20 en Chine depuis des mois, nous espérons que les règles de contrôle des exportations permettront à l’Amérique d’être compétitive en Chine et dans le monde entier », a encore commenté Nvidia. Enjeu majeur La société californienne est au cœur de la rivalité technologique entre Pékin et Washington. L’accès des entreprises chinoises à ses puces avancées H20 constitue un enjeu majeur dans les discussions commerciales entre les deux puissances. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Les puces Nvidia au cœur de la fragile trêve dans la guerre commerciale entre la Chine et les Etats-Unis Cependant, au début de juillet, Nvidia a communiqué sur le fait qu’il reprendrait les ventes de ses puces H20 en Chine, après que les autorités américaines ont levé certaines restrictions à l’exportation vers le pays asiatique. Nvidia, premier producteur mondial de semi-conducteurs, est devenu, en juillet, la première entreprise à dépasser les 4 000 milliards de dollars (3 434 milliards d’euros) de capitalisation boursière, montrant à quel point les marchés misent sur l’intelligence artificielle, en train de révolutionner l’économie mondiale. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Nvidia, première entreprise à dépasser 4 000 milliards de dollars de capitalisation boursière La société Advanced Micro Devices (AMD), domiciliée dans la Silicon Valley, versera également 15 % de ses revenus sur les ventes en Chine de ses puces MI308, dont l’exportation vers ce pays lui était auparavant interdite. Selon le New York Times, cet accord pourrait rapporter plus de 2 milliards de dollars au gouvernement américain. Donald Trump avait annoncé mercredi qu’il comptait imposer 100 % de droits de douane sur les « puces et semi-conducteurs », sans préciser, pour l’instant, la date d’entrée en vigueur de cette nouvelle taxe douanière. Le Monde avec AFP Réutiliser ce contenu
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