L’entreprise américaine Palantir suspectée de créer une base de données géante sur les citoyens
L’entreprise américaine Palantir suspectée de créer une base de données géante sur les citoyens Le champion américain de l’analyse des données est mis en cause par le « New York Times » et des sénateurs démocrates pour des pratiques illégales. Mais ce genre de dispositifs n’est pas l’apanage des Etats-Unis. Article réservé aux abonnés Alex Karp, patron de Palantir Technologies, lors d’une table ronde intitulée « Pouvoir, finalité et le nouveau siècle américain » au Hill and Valley Forum, à Washington, le 30 avril 2025. KEVIN DIETSCH/GETTY IMAGES VIA AFP « Un cauchemar de surveillance. » C’est le climat dystopique qu’encouragerait l’entreprise Palantir, selon des sénateurs américains démocrates. Dans une lettre adressée le 18 juin à Alex Karp, l’impétueux patron de Palantir, ces derniers réclament des comptes au géant américain de l’analyse de données sur la teneur des contrats qu’il a signés avec l’administration Trump. Lire aussi l’enquête | Article réservé à nos abonnés La discrète montée en puissance de la reconnaissance faciale dans le monde D’après l’enquête du New York Times, parue le 30 mai, le gouvernement aurait confié à la multinationale la mission de créer une base fusionnant un grand nombre d’informations sur la vie privée des citoyens américains, à travers un produit nommé « Foundry » qui analyse les données d’administrations fédérales. Des pratiques contraires à la législation des Etats-Unis que Palantir a niées. Mais les élus sont revenus à la charge en dénonçant notamment le contrat de la société avec l’Internal Revenue Service, source des données sensibles de tous les foyers imposables américains. Plus récemment, Palantir a également signé un contrat de 30 millions de dollarsavec l’agence de police douanière et de contrôle des frontièrespour rationaliser, selon les autorités, l’« identification » des étrangers et leur « éloignement » des Etats-Unis, dans le but de rendre la « logistique d’expulsion » plus efficace. Il vous reste 59.16% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
#lentreprise #américaine #palantir #suspectée #créer
L’entreprise américaine Palantir suspectée de créer une base de données géante sur les citoyens
L’entreprise américaine Palantir suspectée de créer une base de données géante sur les citoyens Le champion américain de l’analyse des données est mis en cause par le « New York Times » et des sénateurs démocrates pour des pratiques illégales. Mais ce genre de dispositifs n’est pas l’apanage des Etats-Unis. Article réservé aux abonnés Alex Karp, patron de Palantir Technologies, lors d’une table ronde intitulée « Pouvoir, finalité et le nouveau siècle américain » au Hill and Valley Forum, à Washington, le 30 avril 2025. KEVIN DIETSCH/GETTY IMAGES VIA AFP « Un cauchemar de surveillance. » C’est le climat dystopique qu’encouragerait l’entreprise Palantir, selon des sénateurs américains démocrates. Dans une lettre adressée le 18 juin à Alex Karp, l’impétueux patron de Palantir, ces derniers réclament des comptes au géant américain de l’analyse de données sur la teneur des contrats qu’il a signés avec l’administration Trump. Lire aussi l’enquête | Article réservé à nos abonnés La discrète montée en puissance de la reconnaissance faciale dans le monde D’après l’enquête du New York Times, parue le 30 mai, le gouvernement aurait confié à la multinationale la mission de créer une base fusionnant un grand nombre d’informations sur la vie privée des citoyens américains, à travers un produit nommé « Foundry » qui analyse les données d’administrations fédérales. Des pratiques contraires à la législation des Etats-Unis que Palantir a niées. Mais les élus sont revenus à la charge en dénonçant notamment le contrat de la société avec l’Internal Revenue Service, source des données sensibles de tous les foyers imposables américains. Plus récemment, Palantir a également signé un contrat de 30 millions de dollarsavec l’agence de police douanière et de contrôle des frontièrespour rationaliser, selon les autorités, l’« identification » des étrangers et leur « éloignement » des Etats-Unis, dans le but de rendre la « logistique d’expulsion » plus efficace. Il vous reste 59.16% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
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